Succès des clients: Monsieur Blaise Seton (BENIN) - Champrix B.V.

Succès des clients: Monsieur Blaise Seton (BENIN)

jeudi 5 mai 2022 11:09

Qu'est-ce que c'est que le métier d'aviculteur ?

Rencontrez Monsieur Blaise Seton

  • Fermier de poules pondeuses au Benin.
  • 20.000 pondeuses. 
  • Importer ses propres conteneurs. 
  • Déclarant/Douanier 

''Le premier février 2022 j’ai décidé d’importer directement mes conteneurs. Ma nouvelle commande est en cours d’acheminement. Pour m’assurer de ne pas avoir de rupture de stock, avec le représentant au Bénin, nous nous sommes mis d’accord afin que je puisse directement importer ma propre marchandise. C’est la meilleur décision que j’ai pris. L’équipe au Benin et aux Pays Bas m’assiste á merveille et m’aide a bien calculer mes besoins en aliments afin que je puisse avoir une production stable et de qualité.''

Qu’est ce qui vous fait apprécier votre travail ?  

L’élevage est une passion depuis mon bas âge. Quand j’étais plus jeune á deux, trois mois des fêtes mon papa avait l’habitude de prendre des poussins d’un jours de poulets de chairs. On ne vendait pas mais plus pour notre propre consommation. J’ai eu un rêve, diversifier les activités pour en faire un métier. J’ai commencé par faire des études pour être déclarant. Je voulais tout savoir á propos de l’import-export. Eventuellement, la douane est aussi devenu une passion et je savais très jeune que j’allais combiner les deux. Quand j’étais prêt, alors j’ai commencé avec les poules pondeuses. J’ai commencé avec 1000 sujets. J’aime exceller dans ce que je fais, je me disais : «  les 1000 sujets me donne environ 25 plateaux de trente par jour. Mais maintenant á qui je vais vendre cela ! » J’ai prospecté, avec l’aide de ma femme on a trouvé la clientèle. Très vite, on me demande 50 plateaux. J’ai augmenté le cheptel et aujourd’hui j’en suis á 20.000 pondeuses. Aujourd’hui j’ai une demande de 500 plateaux par jour alors que j’en produis que 200/250 !  il y a du potentiel. Je dirais même un potentiel énorme. 

Expérience avec Champrix

Quand j'ai commencé avec Champrix, je ne connaissais pas tous les produits et le commercial local non plus. Il m’a dit voila le magasin, il y a différents types de produits. Moi, je ne connaissais rien dans ça. Le représentant Champrix n’était pas au bureau alors je ne pouvais me retourner que sur ma propre expertise. Ce que j’ai fait : comparer Champrix avec le produit Idéna que j’ai en stock. J’ai appelé mon technicien ainsi que le représentant Champrix . On a analysé ensemble la meilleure option pour moi. Malheur pour moi, mon technicien n’ avait pas pu finir la session de travail alors je me suis retourné vers un magasin á proximité pour acheter un autre prémix d’un concurrent á Champrix. Quand on a commencé á travailler, j’étais pas satisfait. Je me plaignais. Le représentant Champrix est venu á la ferme avec le 2.5% premix Champrix. Il m’a fait un démonstration de 123feed, j’étais surpris. Les résultats sont stupéfiants. Je l’ai adopté et ce produit ne quitte plus ma ferme. 


Mon technicien a regretté de ne pas avoir finis la séance de travail avec Champrix, on aurait gagné en temps et en argent beaucoup plus tôt. Mon conseil : quand vous échangez avec les professionnels Champrix, prenez le temps de bien échanger et écouter leurs conseils, ils vont vous faire gagner en expertise et en argent 😊 .

Premiér contact avec Champrix  

Par le biais d’un ami j’ai pris connaissance de la société Champrix, Il me parlait toujours de Champrix mais je n’avais jamais essayé. Moi, j’utilisé un complément alimentaire ( prémix) Idéna. Mais au bout de quelques semaine, il m’a convaincu de part les résultats qu’il a obtenus dans sa ferme. Je me suis lancé. J’ai essayé une fois le 2.5% prémix pondeuse P1009, je me souviens même de la référence car ce prémix m’a époustouflé. J’ai pris goût et depuis je n’utilise que ce produit.

Pourquoi avoir choisis Champrix ?

Les résultats sont visibles dès le départ. J’aime aussi la proximité de Champrix. Ils sont ouverts et toujours disponible pour échanger avec vous. 

Comment votre société a t-elle évolué avec Champrix  ?  

On a commencé avec Champrix presque un an maintenant. Le changement de prémix a eu un effet  sur les oiseaux mais ensuite ca a repris normalement. Je pense que je suis en train d’atteindre mes objectifs á savoir plus de 500 plateaux par jours.

Qu’est-ce que vous aimez le plus chez Champrix ? 

J’aime la transparence dans le travail et cette volonté de vous assister dans vos projets. 
Pour moi c’est un projet de vie, et l’équipe l’a bien compris. Vous n’êtes pas un simple numéro de commande mais un vrai partenaire et le relationnel chez Champrix me touche énormément. 

Qu’est-ce que Champrix peut améliorer ? 

Relation travail & emballage : c’est super. 
J’aimerais matérialiser un prémix 2.5% qui comprend plus d’additifs. Nous sommes en train d’y travailler ensemble. 

Décrivez votre marché locale ? 

Notre marché locale est diverse. Nous sommes tous dans la même commune presque. Le marché est inondé. Il y a une concurrence rude. Moi je vends mes œufs hors de cette commune, je fais un gain énorme. 

Le marché ne suit pas le cout de la production, il y a une différence de 4 á 5 mois avant que le couts de production augmente. Nous avons la concurrence des œufs en provenance du Nigeria. Le béninois souhaite le prix le moins cher, malheureusement, la qualité n’est pas la priorité. 

Comment pensez-vous que le marché va évoluer dans 5-10 ans ? 

Aujourd’hui nous avons une association des aviculteurs des éleveurs. Ils vivent sous fond propre. Ils demandent des subventions pour les poussins d’un jour ( á 60%), L’Etat veut progressivement supprimer l’importation de la viande de volailles mais on veut s’assurer que la production d’œuf locale puisse satisfaire la demande.

Les obstacles que vous avez rencontrés au début des activités et comment les avez-vous surmontés ? 

La main-d’œuvre n’est pas qualifiée. Aujourd’hui Champrix donne des formations aux éleveurs pour expliquer les techniques d’élevage, comment choisir les prémix ou concentrés etc…Á mon époque. Il y avait rien de tout ça. Une fois le jeune sorti d’école, il ne connait rien. Il faut le former á la ferme. C’est du temps et de l’énergie ! 

La deuxième chose, l’intervention humaine dans les bâtiments fait défaut ( les vols, on ne sait pas quand les oiseaux n’ont pas l’eau á temps). C’est pour cette raison entre autre que je veux passer á l’automatique. 

Enfin, la hausse des prix de la provende. Avec l’application 123feed j’ai appris a faire mes calculs et a bien stocker mes aliments.

Quels sont vos rêves ?

Le Benin est un marché de poules pondeuses. J’ai commencé avec mille têtes. J’aime exceller dans ce que je fais . Aujourd’hui, je veux automatisé un peu les batteries. On va me les livrer d’ici cette été. Dans le même temps, je programme un bâtiment pour 12.000 têtes supplémentaire. Avant la fin de l’année, je serais facilement á 500/600 plateaux jours. Je suis sûr que la demande va toujours continuer. 

Mon rêve est d’atteindre au moins 60.000 têtes d’ici deux ans avec Champrix. 

Est-ce que vous avez des conseils pour ceux qui souhaitent se lancer ?  

''Ne pas penser que tout de suite vous allez gagner. C’est á force de persévérance. Je conseille de commencer de commencer á coté de son travail. Il pourra alors avoir une trésorerie qui lui permette d’investir dans sa propre entreprise.  Ne commencer pas avoir moins de mille sujets car les vaccins par exemple c’est toujours pour 1000 doses.''